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Forum JDR post-apocalyptique dans un monde contemporain alternatif en proie aux zombies, à des créatures pires encore ainsi que des événements surnaturels.
 

Harvey O'Brian
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Jet de Dés


Fiche de personnage
Points de RP:
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Etat Mental:
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Crédits:
Harvey O'Brian Debuba140/0Harvey O'Brian Videba10  (0/0)
Réputation:
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Informations scénaristiques:
Blessures:
Tatouages:
Cicatrices:
Jet de Dés

Dim 20 Oct 2019 - 23:08

Ressuscité



Harvey O'Brian


Date de naissance: 15 mai 2015

Origines: Le Maine (Greenville)

Métier: Membre de l’équipe de base ball des Black Bears junior de l’université. Il travaille dans un fast food local pas très connu : le Burger Queen pour payer son loyer sur le campus et son abonnement à Wow ( tout ça parce que ses parents ont des principes d’éducations à la con avec leurs histoires de "la valeur du travail"…).  

Particularités:  Il aurait bien aimé avoir un tatouage, mais sa mère n’a pas voulu, pareil pour les piercings. En même temps il avait peur que ça fasse un trop mal alors il aurait été emmerdé si elle avait cédé. Mais ça donnait un super prétexte pour abréger les repas de famille et aller squatter l’ordi.


Description Physique

PROFIL MEETIC : Né le 15 mai 2005, il mesure 1m80, il est tout en muscles, il a un tatouage japonais sur le bras droit qui va sur tout son dos. C’est un homme mystérieux, brun ténébreux avec des yeux bleus flamboyants. Il est d’origine Française et Irlandaise, né en Italie. Il est chef dans un grand restaurant et fait de la moto dans ses heures perdues. D’ailleurs son affaire marche tellement bien qu’il a repris des cours à l’université en dilettante…

PROFIL RÉEL :Bien que depuis ses 15 ans Harvey prétend en avoir 21 ans (surtout à l’entrée des boites de nuit, avant de se faire refouler, et au bar, avant qu’on lui refuse sa commande de bière), aujourd’hui il en a presque 20 ans et on lui en donne toujours moins de 18 ans…. Il faut dire qu’il est petit et banal avec ses cheveux bruns et ses yeux marrons. Des filles lui ont déjà dit qu’il avait un regard de chien battu trop mignon qui leur faisait penser à leur petit frère…
Même s’il est sportif, il reste taillé comme une crevette à son grand désespoir.

Bref, c’est le genre de type qu’on ne remarque pas vraiment…



Description Psychologique

Il a souvent l’air un peu à côté de la plaque. A vrai dire on peut se demander s’il se rend bien compte de ce qui se passe.

La contamination ? Si, en dehors des entrainements, il avait passé moins de temps sur les sites pornos (ou de rencontres) entre deux quêtes de Wow 7.0, peut-être qu’il en aurait entendu parler avant « le drame ». Mais il prend la situation avec un certain fatalisme, après tout, il est vivant non ?

Il a le sentiment que son coach l’a bien eu en le recrutant dans l’équipe des Black Bears junior et en lui faisant miroiter des pompoms girls nymphomanes parce qu’à part des potes qui puent des pieds et se sentent obligés de lui taper dans le dos à lui faire cracher les poumons à chaque matchs gagnés… il n’a pas fait les rencontres promises. L’épidémie risque de ne pas arranger les choses l’idée de se faire bouffer avant d’avoir connu son premier flirt lui donne un peu les boules. Heureusement, l’espoir fait vivre, y’a bien des filles qui ont survécu non ?

Il a une petite tendance à « réécrire » la vérité. Peu ou pas courageux, il préfère éviter/fuir les conflits néanmoins, il sait bosser en équipe et tenir ses postions, pour le peu qu’il soit « bien coché ». Il a tendance à beaucoup parler surtout quand il est nerveux… ce qui le met parfois dans des situations délicates en particulier avec la gente féminine.

Le son des sifflets à tendance le mettre de mauvais poils, mais vraiment de très mauvais poils…



Histoire du Personnage

Je suis né et j’ai grandi dans la palpitante ville de Greenville dans le Maine où il ne se passe jamais rien. Mon père, Bruce O’Brian est responsable du service chirurgie du Maine, ma mère, Brenda O’Brian est dirigeante d’une grosse société de pharmaceutique. Je n’ai jamais compris leur entêtement à vouloir rester au Maine et dans une maison aussi banale alors que d’après ma sœur on serait une des plus grosses fortunes du Maine… en même temps… au le Maine… je ne suis pas certain que cela relève de l’exploit. Ah oui, donc j’ai une grande sœur, Lindsay O’Brian qui m’a volé la vedette dans la catégorie « déception familiale » en se cassant à hollywood pour devenir chanteuse ou actrice ou encore danseuse, elle ne savait pas encore quand elle est partie et n’a pas donné beaucoup de signe de vie autrement que pour demander des sous a mes parents.

Mes parents ne sont pas souvent là, ils sont rigides, pas ouverts, prompts a me faire sentir leur plus grand désappointement face à mon manque d’ambition. D’ailleurs mon père disait souvent «  certain croit que le génie est héréditaire, les autres ont des enfants ».
Je ne me suis jamais fait remarqué à l’école « élève moyen » disait mes profs, « pourrait mieux faire s’il s’y mettait »… ouai mais entre une coop de Wow et faire des rédactions…. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours été plus remarqué par les fouteurs de baffes que par les filles. Il faut voir les choses du bon côté, après avoir été enfermé une ou deux fois dans mon casier et m’être fait piqué mon gouter, j’ai commencé a pas mal baratiner et surtout, à courir vite quand sa tournait mal. Ça ne m’a pas aidé avec les filles, mais ça m’a évité pas mal de baffe. La suite a été la conséquence de mon absence de décision, désigné d’office dans l’équipe de course, puis débauché avec des promesses fallacieuses par le coach de l’équipe de basse ball junior du Maine, ce qui m’ouvra les portes de l’université alors que je n’avais même pas fait de dossier. Wow, entrainement, le coach qui braille, U porn, entrainement, le sifflet du coach qui me vrille les tympans, entrainement, meetic, toujours pas de filles, des matchs, des victoires, grâce à mes jambes, mais c’est ce con de Will que tout le monde encense car son père est moins radin que le mien et c’est lui qui a payé les chaussures, entrainement… j’imagine que j’ai la même vie que la plus part des jeunes de mon âge… à une ou deux copines près.

Comment je me suis retrouvé dans cette merde. Bah en fait la réponse est presque simple pour ce que j’en ai compris.

On revenait d’un match de base ball au Texas qui avait été un désastre. Déjà, on a perdu. Alors forcément le coach a abusé du sifflet et des gueulantes. Ensuite c’est trop la lose de se faire Greenville / Brownwood en bus… 35 heures de route avec des potes qui pensent que garder les mêmes  chaussettes sans les laver ça porte chance… tu parles !!! Dire que les autres équipes ont des clubs qui leur offre des billets d’avions. Et puis, et surtout, y’a Will, un connard qui sort avec Kimberly, la pompom girl la plus canon du Maine, bref, un connard… qui a voulu faire son intéressant avec un supporter de l’équipe adverse. Resultat, il a réussi à se faire mordre par le blaireau du coin. Si seulement le type lui avait arraché la carotide, ça nous aurait évité les miles de retours à entendre Will geindre à la mort pour se faire (encore) remarqué. Genre «  je me sens mal les mecs…. Je crois que j’ai de la fièvre… ». Mais quel naze.

Sans déconner, les filles lui trouvent quoi a ce tocard ? Bon ok, il est grands, blonds et musclés, c’est vrai qu’il a sa voiture décapotable et que ses parents sont riches et lui font plein de cadeaux… mais franchement, à part çà… je ne vois vraiment pas.

Le voyage s’éternisant dès les premières minutes, je me mis à déprimer sur le désert de ma vie sexuelle tout en expliquant à Bob, le capitaine de l'équipe, à quel point j'étais au top de ma relation avec une Cindy (nom vaguement pompé d'un magazine pour adulte) mais que j'étais, aussi, harcelé sur le net par Brenda, Melissa... et que je me sentais épuisé physiquement par toutes ces femmes quand Will a commencé à foutre le bordel dans le bus en essayant de mordre Dylan. Visiblement, il ne supportait pas que tout le monde m’écoute alors il a encore fallu qu’il fasse le con.

J’étais bien décidé à ignorer ce connard avec juste un vague « tu fais chier Will » histoire de recentrer l’attention sur moi. Je commençais d’ailleurs une très intéressante anecdote sur la belle Fabiola (dont j’évitais de mentionner qu’elle venait de U Porn) quand Will a continué ses conneries en essayant de mordre le chauffeur (comme quoi certain serait vraiment près a tout pour se faire remarquer, s’en est pathétique). Du coup, James a sauté sur Will, Bob a voulu intervenir et le coach à commencer à siffler (il a toujours son sifflet sur lui, à croire qu’il va même aux chiottes avec). Cet abruti de chauffeur n’a pas su gérer la petite blague de Will et le fait d’avoir deux montagnes de muscles qui lui sont tombés sur la tronche alors qu’ils maitrisaient ce « foufou » de Will. Il a vaguement brayé quelques chose du style « j’y vois plus riiiiiieeenn virez-vous » mais en moins poli avant que le bus fasse une sortie de route digne d’un film d’action.

Forcément, il y avait un dénivelé, forcément, le bus est tombé dedans après nous avoir embrassé le plafond plusieurs fois lors des tonneaux. Quel chauffeur au rabais ! Je vous avouerais que cette partie est un peu confuse car le plafond est aussi rigide que le planché dans un bus scolaire loué au rabais (preuve que le Maine néglige vraiment ses sportifs). Quand enfin le bus a cessé de bouger, nous étions, fort heureusement, dans le bon sens, mais, plus malheureusement, dans un état proche de celui de notre véhicule. C’est quand j’ai vu Bob, dont la tête avait un angle assez inquiétant, affalé sur James, Will et je pense le chauffeur en dessous, que j’ai compris que je ne pourrais pas finir mon histoire sur Fabiola.

En même temps, j’avais le pire mal de crane de ma vie, et pas seulement à cause de l’accident mais surtout à cause du coach qui s’existait sur son sifflet entre deux ordres pour remettre « les choses en ordres ». Il brayait comme sur le terrain. Il fallait aider les blesser, les sortir, remettre le bus en état…faire si, faire ça… j’aurais vraiment dû rester dans l‘équipe de running.

Ayant un peu mal partout, mais ne voulant surtout faire gueuler plus le coach, je suis allé voir si James allait bien entre Bob et Will. Mais en voyant que Will avait la tête dans le bide de James et qu’il avait l’air de mordre un bout de viande… beurk… je me suis dit qu’il y avait peut-être un autre problème à gérer. J’ai donc vidé mon estomac du sandwich au beurre de cacahuètes. J’allais vomir le reste de mon goûter quand je vis par la fenêtre des gens secourables arriver en nombre…. mais… en boitant… avec des fringues dégueulasses et des gémissements peu engageants ?

« Heu… coach…
- Ta gueule O’Brian !!
- Mais Coach…
- *coup de sifflet*
- Vas aider Will à se décoincer »

Les “secours” se rapprochaient toujours plus et la vision des claquements de mâchoires de Will ne me paraissait pas plus attirante que la gueule de nos sauveurs à l’extérieur du bus. Je n’avais vraiment pas envie d’aller aider ce connard de Will mais je me souvins qu’il avait une photo de Kimberly en 3D en soutif dans son portefeuille Du coup j’essayai de le récupérer pendant qu’il était… occupé… avec James. Je venais de récupérer le précieux portefeuille quand Will, bien décidé à me faire chier jusqu’au bout, ma sauvagement mordu au bras. J’attrapais vite la jambe de James qui pendouillait pour le frapper avec. Il lâcha enfin mon bras pour se concentrer sur la jambe de James. Will n’a jamais brillé pour sa constance et son intelligence, visiblement l’accident ne l’avait pas arrangé.

C’est a ce moment là que je remarquais que les gens dehors s’étaient beaucoup rapprochés et n’avaient pas l’air bien « finis dans leur tête »

« Coach.. y’a du monde dehors…
-Pour une fois que les secours arrivent rapidement !!! Va les chercher O’Brian !!
- Mais Coach…

*coup de sifflet strident entrainant un gémissement de toute personne ayant une audition encore fonctionnelle, même les très blessés, et générant une recrudescence de bruits bizarres chez nos « sauveteurs ».

- QUOI ENCORE O’BRIAN !!!??
- Ben… je suis pas sûr que ça soit une bonne idée coach, les mecs dehors ils ont l’air zarbes, du genre, pas sains... Et puis, votre sifflet à votre place… je crois que j’arrêterais… ça à pas l’air de leur plaire…
- MAIS IL VA SE CALMER LE TOCARD DE MERDEUX DE JOUEUR DE SECONDE ZONE !!!! QUAND LE COACH PARLE ON SE LA FERME ET ON OBEIT !! JE TE PREVIENS O’BRIAN, ENCORE UNE REFLEXION ET C’EST LE BANC DE TOUCHE POUR LE PROCHAIN MATCH !!! »

Que dire de plus ? J’ai regardé Smith et Mark, eux aussi ils avaient l’air de ne pas trop le sentir en regardant par la fenêtre du bus. Alors je n’ai pas réfléchi, j’ai choppé mon sac ma casquette, ma batte de baseball et la DS de Bob (j’ai toujours voulu en avoir une) ainsi que le précieux portefeuille de Will (comme ça j’aurai la photo de Kimberly). J’ai pété la vitre et je suis sorti, Mark, Smith et Jim on fait pareil. Ils étaient au moins 10 dehors… genre films d’horreur.

Jim a été vers eux et leur aimablement demandé (Jim il a toujours su être aimable avec les inconnus, même si c’est des texans mal lavés): « Excusez-moi, quelqu’un serait médecin parmi vous car on a des blessés et ARGGGGGGHH »

Merde, ils avaient choppé Jim et… ils le bouffaient??? Ciel, le Diet coca n’était pas loin, et ce n’était pas le moment de gerber. Visiblement ces mecs avaient un gros problème et peut être pas qu’avec l’amabilité de Jim. Je crois que je suis resté planté là à détailler la scène sans vraiment comprendre. On m’avait bien dit que les Texans ont des coutumes barbares mais à ce point-là…

Quand un des types essaya de venir vers moi avec son haleine de marée basse (ils n’ont pas de dentiste au Texas ???), ça m’a réveillé d’un coup. Je suis parti en courant comme un lapin, suivi de Smith et Mark. Je crois avoir entendu des coups de sifflet, des cris… et d’autres sons que je veux oublier.

J’ai couru, j’ai couru, comme un fou, sans réfléchir, je ne sais pas combien de temps, mais a un moment j’ai vu que j’étais seul, pourtant je n’ai pas ralenti la cadence, j’ai continué et puis… le trou noir, j’ai dû tomber de fatigue….

Et voila, je ne savais pas où j'étais exactement, mais j'avais la certitude que j'étais dans merde. Heureusement, j'avais la photo de Kimberly pour me consoler.



Equipement de Départ


- Couteau suisse Moderne
- Petit sac à dos
- 1 Ration de nourriture

Equipement Porté :
N/A
Accessoires Pratiques :
N/A
Contenants Personnels :
N/A
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