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Forum JDR post-apocalyptique dans un monde contemporain alternatif en proie aux zombies, à des créatures pires encore ainsi que des événements surnaturels.
 

Daniel Brown
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Jet de Dés


Fiche de personnage
Points de RP:
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Etat Mental:
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Crédits:
Daniel Brown Debuba140/0Daniel Brown Videba10  (0/0)
Réputation:
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Informations scénaristiques:
Blessures:
Tatouages:
Cicatrices:
Jet de Dés

Mer 13 Nov - 13:42

Survivant



Daniel Brown


Date de naissance: 25 octobre 1979


Origines : Américaines


Métier : Architecte


Particularités : Cicatrices sur l’intégralité de son dos, ressemblant à des brûlures.


Description Physique

Daniel est un homme de taille moyenne pour un poids tout aussi moyen, un mètre quatre-vingt cinq pour un peu plus de soixante-dix kilos. Sa peau est sombre, hérité de ses deux parents qui étaient eux aussi noirs de naissance.

Certaines personnes pourraient penser que c’est un vieillard en apprenant qu’il a dépassé la cinquantaine, mais ce serait se méprendre. En effet, Daniel a un physique d’un homme bien portant, musclé, les nombreux mois d’apocalypse n’ont pas réussis à l’amaigrir, bien au contraire. Au fil de ces différents mois, c’est là où il a gagné le plus en masse musculaire, alors qu’avant, il était plutôt grassouillet.

Une barbe de survivant s’était dessinée sur son visage, bien qu’il essaye de rester propre dès qu’il le peut. Un visage marqué par le temps, mais pas vis-à-vis de ses rides ou autres, d’ailleurs, il est à noter qu’il en a vraiment peu, et on pourrait aisément le rajeunir. Une barbe brune, tout comme ses cheveux courts, le tout s’accordant bien ses yeux noirs, bien qu’ils soient cachés derrière sa paire de lunettes de soleil. Un regard perdu et plein d’espoir pourra être remarqué si Daniel laisse a ses yeux le loisir d’être vus.

Ce qui pourrait aussi frapper chez Daniel, ce sont ses mains. Des mains fines et longues, mais usées, et vieillies. Des mains qui auraient dû être des mains de médecin, de dessinateur, d’écrivain ou bien de pianiste, mais qui sont usées et craquelées de toute part comme celles d’un maçon ou d’un menuisier.

Un long manteau vert trône sur ses épaules, alors que Daniel porte juste en dessous un pull beige uniforme avec un t-shirt blanc. Un pantalon cargo beige lui aussi, alors qu’une paire de baskets bleues et blanches lui protègent les pieds.



Description Psychologique

Daniel est un homme fier. Ne cherchant pas la confrontation, il ne cherche pas non plus à l’éviter. Lorsqu’il dit quelque chose, c’est qu’il en est sûr, il n’apprécie pas d’être contredit, et quand c’est le cas, il n’aura aucune hésitation à défendre son point de vue. Pensant que ses paroles sont emplies de raison, il ne résignera à accepter le fait qu’il a tort uniquement après qu’un avis contraire lui soit exposé par tous, et qu’il ne soit plus que le seul à défendre son point de vue face à la masse qui s’oppose à lui.

Malgré cela, Daniel est un homme avec le cœur sur la main, toujours prêt à aider quelqu’un dans le besoin sans rien demander en échange. Cela était le cas avant, et c’est toujours d’actualité. Toujours prêt à défendre les faibles et les opprimés sans aucune arrière pensé, sans jamais rien demander, il est tout de même contre la violence et préfèrera toujours régler les conflits grâce à ses talents d’orateur plutôt qu’avec la violence.

Bien qu’il ne soit croyant, Daniel suit les préceptes des textes sacrés sans être à genoux pour prier, préférant toujours les actes comme le fait d’aider son prochain à chaque instant. Le fait d’aider les autres lui vient de son éducation religieuse, tout comme le fait d’espérer en un avenir meilleur. Un espoir sans failles, mais lié très étroitement avec un sentiment d’être perdu dans ce monde. Le sentiment d’être un mouton seul sans aucun berger à suivre.

Même s’il est croyant, il pense que rien ne lui arrivera par la grâce de Dieu, et que seul son mérite lui donnera la chance d’avoir ce qu’il souhaite et ce qu’il mérite. C’est dans cette logique aussi qu’il a été éduqué. Tout travail mérite salaire, et jamais il ne gardera ses mains dans les poches. Il ne peut pas rester en place et refuse de laisser les autres travailler à sa place.



Histoire du Personnage

Né à Houston le 25 octobre 1979 d’une mère qui tenait un salon de coiffure où elle était seule à y travailler et d’un père qui était pasteur, il a deux sœurs, une légèrement plus âgée, et une autre plus jeune de cinq ans. Ayant été à l’école dès son plus jeune âge, il se révèle alors être une personne avec des grandes capacités dans le milieu scolaire. Encouragé par ses parents à continuer les études pour obtenir un métier qui assurerait son avenir, il continuera ses années à l’école sans jamais échouer malgré le racisme auquel il fait face durant de nombreuses années lors de sa jeunesse.

Éduqué pour tendre l’autre joue, préférant toujours la violence, il ne fuira jamais, n’étant pas lâche, mais refusant aussi de cogner pour laisser ses paroles combattre à la place de ses poings, ce qui est, bien plus efficace dans son cas. Écoutant son père tous les dimanches, aidant ses parents et ses sœurs du mieux qu’il le peut, il est ce qu’on pourrait appeler un bon enfant et un bon chrétien.

Grandissant aux côtés de ses deux parents qui resteront ensemble pour toujours, il accompagnera son père le plus souvent possible dans son œuvre caritative consistant à bâtir et à retaper différentes églises et logements pour personnes démunies dès le milieu de son adolescence.

Cette activité caritative aux côtés de son père l’aidera à trouver sa voie. Il choisira de devenir architecte pour pouvoir donner un toit à ceux qui en ont besoin tout en s’assurant un avenir grâce aux revenus dégagés par ce métier. Partant pour l’université à l’autre bout de la ville, il commencera à vivre seul dès le début de son entrée à cette université d’Houston. Rendant visite à ses parents le plus souvent possible, travaillant d’arrache pied pour ses études mais aussi pour les autres, s’employant à donner une éducation aux jeunes dans une association près de son appartement ayant pour but d’apprendre à lire et à écrire aux jeunes enfants n’ayant pas eu le loisir d’aller à l’école.

Satisfait de son train de vie, heureux de ce qu’il était en train de devenir et de ce qu’il allait faire de sa vie, il trouva celle qui serait sa femme pour le reste de sa vie lors de sa dernière année à l’université. Monica, jeune étudiante en journalisme qui était en dernière année elle aussi. Histoire d’amour passionnelle, autant au début qu’à la fin. Les deux réussirent leurs études aisément, rendant leurs parents fiers d’eux. Emménageant ensemble à Houston, ils finirent par devenir ce qu’ils aspiraient à être, l’un architecte, l’autre journaliste dans un journal local.

Daniel travaillera dans un petit cabinet d’architectes, d’associant aux autres qui avaient créés cette entreprise. Bien que ses collègues étaient bien plus expérimentés et plus anciens que lui, Daniel n’hésita jamais à prendre de plus gros chantiers, ce qui n’était pas l’habitude de ses coéquipiers, mais sortant avec succès de l’université, il fallait avouer qu’il avait pris la grosse tête, mais cela ne l’empêcha pas de réussir tout ce qu’il entreprenait, faisant grossir ce sentiment d’orgueil.

Quelques années de couple étaient passées avant leur heureux mariage. Sa grande sœur s’était marié avant malgré tout, mais Daniel aura été le premier de la fratrie à avoir une descendance. Un an après leur mariage d’ailleurs, une petite fille qu’il appellera Diana. Enfin, c’était Monica, sa femme qui voulait lui donner ce prénom, lui n’avait pas réellement d’idée.

Les deux avaient réussis brillament leurs métier, travaillant tout deux dans ce qu’ils souhaitaient tout en laissant le loisir à leurs collègues et patrons d’être totalement satisfaits du travail qu’ils produisaient. Six ans après la naissance de Diana vint un petit garçon qu’ils nommèrent Andrew.

La vie suivait son cours, Diana commençait à travailler dans un institut d’esthétique en mixant l’école et le travail, tandis qu’Andrew était le meilleur de son équipe de football américain faisant la fierté de son père. Daniel ne se préoccupait pas du fait que ses enfants n’étaient pas très attirés par la religion, estimant que toute personne se devait de suivre sa voie. Bien plus laxiste avec sa famille qu’avec ses collègues, il quitta son travail à cause de différents envers ses associés avant de monter lui-même son propre cabinet d’architecte pour ne plus avoir ce genre de problème.

Diana rencontra un homme et se maria, tandis qu’Andrew avait continué l’école décrochant une bourse pour aller dans l’université de son choix, toujours en étant un excellent joueur de football américain, il choisira une faculté de droit aux abords d’Austin. Daniel rendra souvent visite à son fils, souffrant de cette séparation, lui qui était vraiment très proche de sa descendance, mais bien plus d’Andrew que de Diana.

Le temps passait, la mère de Daniel avait arrêté de travailler alors que son père continuait toujours son travail de pasteur. Un petit fils naquit de l’union de Diana et de son mari qui fit la joie de ses grands-parents qui n’étaient plus aussi jeunes qu’avant. Andrew quant à lui allait de fille en fille malgré le temps qui passait, faisant le désespoir de sa mère mais amusait son père. Bien qu’au bout de nombreuses années, Andrew resta et emménagea avec une femme qui était infirmière mais qui ne deviendra pas sienne, car il n’était pas dans les projets d’Andrew ni d’elle de se marier. Pour l’instant du moins.

La vie allait bien, le travail de Daniel marchait très bien malgré le fait qu’il était seul, tout comme celui de Monica qui n’avait pas bougé durant toute sa carrière de ce petit journal local malgré les hauts et les bas.

Les hauts et les bas du monde du travail, mais aussi du monde. La fin du monde était arrivée.

Dans un premier temps, les cas étaient isolés, et ni Daniel ni sa femme ne s’en préoccupaient. Jusqu’à ce que l’épidémie s’intensifie rapidement. Mis en quarantaine peu de temps après le début des événements, Daniel et sa femme furent séparés de leurs enfants, cherchant par tout moyen à obtenir de leurs nouvelles, mais sans succès.

Gardant tout de même espoir en l’avenir, Daniel tentait d’aider toute personne dans ce gymnase d’Houston où une des nombreuses quarantaines avaient étés établies. Les militaires tentaient tant bien que mal de faire leur travail et de sauver toute personne se trouvant dans ce gymnase, ce qui avait plutôt bien réussi au début, lorsque tout le monde était soudé et prêt à aider l’armée dans leurs taches quotidiennes.

Au fil des jours et des semaines, on parait de Texas en otarie, de murs, de quarantaine au niveau de l’état. Mais aussi la pénurie des vivres se faisait sentir, rendant aigrie la plus calme des personnes, créant des bagarres pour une simple bouchée de pain. La peur de mourir de faim ou bien d’être jeté dehors par les militaires était présente dans le cœur de tous. Malgré tout, Daniel continua d’aider toute personne qui le demandait et qui en avait besoin, restant toujours proche de sa femme bien aimée.

L’apocalypse, l’épreuve ultime leur était imposée. Elle était bien plus ardue lorsque la vague de ces monstruosités s’était faite trop violente sur leur gymnase qui leur servait de refuge, obligeant l’armée à les faire évacuer. Un grand nombre avait péri en cette après-midi d’été. Une fois sortis, barricadés dans une grande surface qui avait été pillée par ces mêmes militaires pour tenter de nourrir toute ces personnes, la faim se faisait de plus en plus sentir, car à présent, plus aucune ressource ne se trouvait ici.

Les militaires avaient vus leurs rangs bien plus amoindris et étaient obligés de prendre des réfugiés comme volontaires pour les accompagner durant leurs sorties pour aller chercher des vivres. Daniel était lui-même volontaire pour sortir. Une sortie qui avait été désastreuse. Encerclés par les morts, les militaires avaient tant bien que mal repoussé les monstres jusqu’à ce que plus rien qui semblait hostile ne s’approchait. Les militaires bien plus qu’affaiblis par cette attaque ne pouvaient plus revenir aider les réfugiés, en effet, il ne restait que deux personnes en vie après cette sortie. Daniel et un jeune militaire.

Ce jeune militaire qui s’était fait mordre et qui s’était suicidé quelques instants après la fin de ce chaos sans nom. Daniel était à présent seul. Refusant de prendre une arme, il récupéra les vivres qu’ils avaient réussis à trouver dans son sac puis parti vers le magasin dans lequel ils avaient fait leur camp. Mais Daniel avait eu une vision d’effroi en arrivant au camp. Sa femme Monica morte et debout face à lui. Les larmes aux yeux, il partit le plus loin possible, courant jusqu’à ce qu’il trouve un lieu calme et tranquille, croisant de nombreux morts mais les évitant toujours, sans jamais se retourner.

Fouillant toujours tout ce qu’il pouvait être fouillé dans l’espoir de trouver à manger, il survécu comme ceci, sans jamais se battre, en bloquant les portes avec son corps lors de ses nuits courtes et emplies de cauchemar. Fuyant cette ville maudite, il partit vers l’Ouest dans l’espoir de retrouver son fils qui n’avait pas bougé d’Austin après ses études, il ne trouva qu’une ville à feu et à sang avec en son sein une peuplade de monstruosités.

Refusant d’abandonner alors que sa fille et son fils pouvaient toujours être en vie, il partit encore vers l’Ouest sur les routes, où la nourriture se faisait aléatoire, parfois beaucoup, parfois peu, s’obligeant à manger tout ce qu’il trouvait, quitte à manger des aliments périmés et impropres à la consommation, quitte à survivre.

Survivre sans se battre, c’est ce dont il avait réussi à faire, évitant le combat à chaque instant, il courrait et fuyait la confrontation avec les morts, croisant quelques vivants par-ci par-là, les observant de temps en temps, mais sans jamais se risquer à les rencontrer. Méfiance et peurs se faisaient présentes à chaque fois qu’il les voyait. S’obligeant à dépouiller les cadavres qu’il trouvait, il réussi à trouver sur un cadavre de policier un gilet pare-balles et un pistolet-teaser. Seule arme qu’il se résignait à empoter du fait des dommages qu’elle procurait. Aucun.

Son sac empli de livres qu’il avait lu un nombre incalculable de fois pour éviter de trop réfléchir durant son long périple, préférant la distraction plutôt que la réflexion. Préférant espérer sans jamais se poser les mauvaises questions. Déviant légèrement sa trajectoire vers le Nord, c’est alors qu’il arriva dans les quartiers de Snyder.



Equipement de Départ


- Pistolet taser
- Gilet pare-balles
- Grand sac à dos

Equipement Porté :
N/A
Accessoires Pratiques :
N/A
Contenants Personnels :
N/A
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